Ma plus grosse Erreur !
Assurément, ma plus grosse erreur dans mon parcours entreprenarial est d’avoir créé tout seul, ou de ne pas avoir pris le temps de créé avec quelqu’un et qui plus est sans carnet d’adresse.
Je me suis lancé dans l’aventure, sur de moi, et certain que seul j’y arriverais. Bravant monts et marrées sans que rien ne me renverse, à la seule rage et l’envie de réussir.
Vous me dire que ce n’est pas un mal en sois. Certes !
Et même si, en partie, j’ai monté cette entreprise pour créer mon propre emploi, il faut quand même bien le rappeler, j’ai fait l’erreur de partir seul à la guerre contre des armées.
Impatience ? Sûrement, et sans me rappeler qui disait ça, « la patience, c’est la maturité », il faut donc croire qu’il y a deux ans, j’étais assez mûr pour entreprendre, pas assez pour avoir la patience de le faire.
Seul en interne, parce que personne avec qui travailler, discuter, échanger des idées et avancer, mais aussi seul en externe. Parce que pas de carnet d’adresse. A ce niveau, je suis partis de rien et c’est un tord, car grand est l’utilité du carnet d’adresse !
Au-delà des compétences complémentaires il y a le rapport et l’aventure humaine avec un proche collaborateur qui de toute évidence m’a rapidement manqué. Essoufflé, je déployais plus de force et d’énergie que j’aurais dû.
Puis, l’anxiété et la multitude des tâches qui se cumulent etc… Sans parler des prises de décisions et de l’impact commercial à deux forcément plus percutant que seul.
Il est clair que ses dernières semaines par exemple, j’ai manqué complètement de « niaque » pour repartir à l’attaque, épuisé physiquement et moralement.
Alors à la question si vous deviez le refaire, le referiez-vous différemment, je répondrais : Oui, à plusieurs !
Je me suis lancé dans l’aventure, sur de moi, et certain que seul j’y arriverais. Bravant monts et marrées sans que rien ne me renverse, à la seule rage et l’envie de réussir.
Vous me dire que ce n’est pas un mal en sois. Certes !
Et même si, en partie, j’ai monté cette entreprise pour créer mon propre emploi, il faut quand même bien le rappeler, j’ai fait l’erreur de partir seul à la guerre contre des armées.
Impatience ? Sûrement, et sans me rappeler qui disait ça, « la patience, c’est la maturité », il faut donc croire qu’il y a deux ans, j’étais assez mûr pour entreprendre, pas assez pour avoir la patience de le faire.
Seul en interne, parce que personne avec qui travailler, discuter, échanger des idées et avancer, mais aussi seul en externe. Parce que pas de carnet d’adresse. A ce niveau, je suis partis de rien et c’est un tord, car grand est l’utilité du carnet d’adresse !
Au-delà des compétences complémentaires il y a le rapport et l’aventure humaine avec un proche collaborateur qui de toute évidence m’a rapidement manqué. Essoufflé, je déployais plus de force et d’énergie que j’aurais dû.
Puis, l’anxiété et la multitude des tâches qui se cumulent etc… Sans parler des prises de décisions et de l’impact commercial à deux forcément plus percutant que seul.
Il est clair que ses dernières semaines par exemple, j’ai manqué complètement de « niaque » pour repartir à l’attaque, épuisé physiquement et moralement.
Alors à la question si vous deviez le refaire, le referiez-vous différemment, je répondrais : Oui, à plusieurs !