Un Mentor ça change tout !
Et oui ! Si l’on regarde autour de nous, la plupart des gens qui ont réussi, artistes, entrepreneurs, acteurs... ont eu un ou plusieurs mentors.
Source de conseils, un mentor est bien plus qu’un exemple, c’est une forme d’idéal inatteignable, un Senseï.
Sans pour autant aller jusque là, et pour répondre aux questions qu’un entrepreneur peut se poser, la CCIP met en place un système de « Mentorat Entrepreneurial » au travers duquel un dirigeant d’entreprise d’au moins 2 ans et de 10 à 250 salariés à la croissance reconnue va accompagner pendant 12 à 18 mois un entrepreneur qui débute.
L’institut du Mentorat Entrepreneurial est un système qui nous vient du Québec.
Je me tue à dire au maire adjoint au développement économique de la ville de Rueil que c’est l’avenir.
J’y crois beaucoup, c’est un excellent moyen, pour ne pas dire un moyen infaillible de passer le cap des 3 ans.
Accompagné, épaulé par un pair plus expérimenté, le nouvel entrepreneur se sent entre de bonnes mains, en confiance.
Ce binôme limite les risques d’échec du débutant et permet une bonne introduction du jeune entrepreneur dans le monde des affaires.
C’est clairement ce qu’il manquait en France.
Rapprochez-vous de la ccip pour plus d’informations
Source de conseils, un mentor est bien plus qu’un exemple, c’est une forme d’idéal inatteignable, un Senseï.
Sans pour autant aller jusque là, et pour répondre aux questions qu’un entrepreneur peut se poser, la CCIP met en place un système de « Mentorat Entrepreneurial » au travers duquel un dirigeant d’entreprise d’au moins 2 ans et de 10 à 250 salariés à la croissance reconnue va accompagner pendant 12 à 18 mois un entrepreneur qui débute.
L’institut du Mentorat Entrepreneurial est un système qui nous vient du Québec.
Je me tue à dire au maire adjoint au développement économique de la ville de Rueil que c’est l’avenir.
J’y crois beaucoup, c’est un excellent moyen, pour ne pas dire un moyen infaillible de passer le cap des 3 ans.
Accompagné, épaulé par un pair plus expérimenté, le nouvel entrepreneur se sent entre de bonnes mains, en confiance.
Ce binôme limite les risques d’échec du débutant et permet une bonne introduction du jeune entrepreneur dans le monde des affaires.
C’est clairement ce qu’il manquait en France.
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