Le paradoxe révélateur...

Abu Dhabi, ville et émirat des Emirats Arabes Unis, est aussi l’un des plus gros fond d’investissements au monde.
Richesse en grande partie due à leur réserve de pétrole, le pays vient d’annoncer le lancement de la construction de la première ville entièrement écolo, Masdar, fonctionnant uniquement avec des énergies vertes.
Bien sur le projet est pharaonique, un investissement de 15 milliards de dollars, et un objectifs de 50 000 habitants en 2015.(fin des travaux prévus pour 20013)
Première ville au monde sans émission de carbone, sans déchets, ni voitures !
Soutenu par WWF, ce projet absolument hallucinant entre en totale contradiction avec la principale source de revenus du pays : le pétrole.
Et c’est en ça qu’il est très intéressant de se pencher dessus.
L’objectif avoué d’Abu Dhabi est de diversifier l’économie et de rasembler, hommes d’affaires, ecologistes, entreprises vertes… Preuve que l’environnement et le développement durable n’est pas qu’une histoire de marketing, une mode éphémère aux enjeux utopiques.
Entre énergie solaire photovoltaique, héolienne, géotermie…Masdar sera la première ville au monde à rasssembler autant de « green tech » et à en user.
Je trouve l’initiative facsinante.
Anticipation de rigueur pour Abu Dhabi au regard de la concurrence internationale (la Chine travaillant aussi sur le même type de projet vise quant à elle 50 000 personnes à 2010) et de l’état de l’or noir sur le plan mondial.
Un voyage semble s’imposer dans ce qui pourrait bien devenir l’un des « cœur » mondial du développement durable.