Détachement...
2009 redémarre, je laisse derrière moi 2 ans et demi d’entrepreneuriat et une sacrée expérience.
Des journées à rallonges, des pleurs, des rires, peu de sommeil, du stress, du plaisir, du bonheur, de l’amour…
Il n’en reste pas moins que cette entreprise créée de toutes pièces par mes « petites » mains avait un goût unique et une empreinte certaine.
C’était ma boîte. Certains parlent d’ailleurs de leur « bébé ». Terme que je ne trouve pas franchement approprié, mais qui peu se comprendre.
Aussi, je me rappelle d’une chose que l’on nous avait dit en licence.
Il faut savoir se détacher de ça. Prendre du recul par rapport à le relation intime que l’on a avec sa propre entreprise pour mieux la gérer, pour mieux manager ses équipes, mais aussi aborder de manière optimale une revente, transmission ou le cas échéant d’une dissolution sans s’engluer dans des lamentations sentimentales souvent au détriement de l'entreprise.
Il faut savoir prendre de la hauteur avec tout ça.
Mais lorsqu'on est plongé dans l'action du quotidien comment prévoir ou anticiper sa propre réaction ?
Et bien même si la décision de clôturer ne fut pas facile à prendre, je dois reconnaître avoir eu une certaine simplicité à me détacher et ce rapidement du rapport que j’avais à ma boîte.
À partir du moment ou la décision fut prise, tout s’enchaînât dans ma tête avec une fluidité remarquable.
2009 redémarre, me laissant la place, et ça ne fait que commencer !
Des journées à rallonges, des pleurs, des rires, peu de sommeil, du stress, du plaisir, du bonheur, de l’amour…
Il n’en reste pas moins que cette entreprise créée de toutes pièces par mes « petites » mains avait un goût unique et une empreinte certaine.
C’était ma boîte. Certains parlent d’ailleurs de leur « bébé ». Terme que je ne trouve pas franchement approprié, mais qui peu se comprendre.
Aussi, je me rappelle d’une chose que l’on nous avait dit en licence.
Il faut savoir se détacher de ça. Prendre du recul par rapport à le relation intime que l’on a avec sa propre entreprise pour mieux la gérer, pour mieux manager ses équipes, mais aussi aborder de manière optimale une revente, transmission ou le cas échéant d’une dissolution sans s’engluer dans des lamentations sentimentales souvent au détriement de l'entreprise.
Il faut savoir prendre de la hauteur avec tout ça.
Mais lorsqu'on est plongé dans l'action du quotidien comment prévoir ou anticiper sa propre réaction ?
Et bien même si la décision de clôturer ne fut pas facile à prendre, je dois reconnaître avoir eu une certaine simplicité à me détacher et ce rapidement du rapport que j’avais à ma boîte.
À partir du moment ou la décision fut prise, tout s’enchaînât dans ma tête avec une fluidité remarquable.
2009 redémarre, me laissant la place, et ça ne fait que commencer !