Entreprendre
Je déborde d’idées, mais n’est pas assez de moyens pour les développer.
Je mets de côté ce que je n’ai pas pu ou pas su faire aujourd’hui, j’en aurais certainement besoin demain.
(Remarquez avec les jours de grèves qui arrivent, je vais avoir le temps de plancher…)
C’est la passion qui anime, l’envie de faire quelque chose au sens conceptuel du terme. Non pas de faire pour faire, mais faire pour être et devenir.
Prendre le risque de se planter, de croiser l’échec, se contorsionner dans tous les sens et atteindre son objectif.
Cela ressemble à un exercice d'acrobate sans filet. Un sentier sans bitume ni lignes blanches, où la signalisation est à établir et le tracé à élaguer.
Qu’importe, j’élague ! J’avance à la machette et débroussaille ce qui fait obstruction à mon passage.
Je rêvais de liberté, d’autonomie, d’indépendance, de réalisation de sois, d’épanouissement, de rencontres. Je rêvais de faire ce que beaucoup n’ose même pas penser ou imaginer.
Entreprendre, créer. Deux mots qui résonnent dans les oreilles des jeunes générations comme un chant touareg dans le désert.
Des hiéroglyphes dans un cahier d’histoire au lycée.
Apparamment le coeur n'y est plus. Les esprits qui feront l'économie de demain n'aspirent plus à cette forme de travail. Et s'ils le font, c'est presque par dépit ou contraint (économiquement). Comme si la route de la normalité nous conduisait directement au 4ème étage, dans bureau paysage. (il est clair que le rôle que joue l'Ecole dans ces choix est prédominant. Ce qui fera une note très prochainement)
Et pour autant, cette route est accessible.
Bien sûr, ce n’est pas simple, et rien n’est jamais gagné d’avance, mais la facilité ne confère que peu d’honneur et peu d’estime.
Entreprendre c'est faire de sa vie ce que l'on en veut. Au delà des difficultés.
La première étape est de trouver le juste milieu entre rêves, ambitions et réalité.
L’équation du jeune entrepreneur...
Je mets de côté ce que je n’ai pas pu ou pas su faire aujourd’hui, j’en aurais certainement besoin demain.
(Remarquez avec les jours de grèves qui arrivent, je vais avoir le temps de plancher…)
C’est la passion qui anime, l’envie de faire quelque chose au sens conceptuel du terme. Non pas de faire pour faire, mais faire pour être et devenir.
Prendre le risque de se planter, de croiser l’échec, se contorsionner dans tous les sens et atteindre son objectif.
Cela ressemble à un exercice d'acrobate sans filet. Un sentier sans bitume ni lignes blanches, où la signalisation est à établir et le tracé à élaguer.
Qu’importe, j’élague ! J’avance à la machette et débroussaille ce qui fait obstruction à mon passage.
Je rêvais de liberté, d’autonomie, d’indépendance, de réalisation de sois, d’épanouissement, de rencontres. Je rêvais de faire ce que beaucoup n’ose même pas penser ou imaginer.
Entreprendre, créer. Deux mots qui résonnent dans les oreilles des jeunes générations comme un chant touareg dans le désert.
Des hiéroglyphes dans un cahier d’histoire au lycée.
Apparamment le coeur n'y est plus. Les esprits qui feront l'économie de demain n'aspirent plus à cette forme de travail. Et s'ils le font, c'est presque par dépit ou contraint (économiquement). Comme si la route de la normalité nous conduisait directement au 4ème étage, dans bureau paysage. (il est clair que le rôle que joue l'Ecole dans ces choix est prédominant. Ce qui fera une note très prochainement)
Et pour autant, cette route est accessible.
Bien sûr, ce n’est pas simple, et rien n’est jamais gagné d’avance, mais la facilité ne confère que peu d’honneur et peu d’estime.
Entreprendre c'est faire de sa vie ce que l'on en veut. Au delà des difficultés.
La première étape est de trouver le juste milieu entre rêves, ambitions et réalité.
L’équation du jeune entrepreneur...